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Terrorisme : l’Afrique de l’Ouest peut-elle imploser ?

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L’insécurité est devenue le sujet majeur pour les chefs d’Etat des pays ouest-africains. Une insécurité qui menace de plus en plus l’intégrité territoriale de plusieurs pays s’étendant entre la bande sahélo-saharienne et le golfe de Guinée. Peut-on vraiment venir à bout de ce phénomène ?

Extrémisme violent, insurrections armées, criminalité transfrontalière, cybercriminalité à des fins idéologiques, assassinats politiques ou encore banditisme… Ces menaces sécuritaires tombent toutes sous la définition juridique du crime terroriste, tel que défini par Berto Jongman en 1988. Un concept repris dans les législations du monde entier, particulièrement depuis le Patriot Act, la loi américaine dont l’objectif est de « fournir les outils appropriés pour déceler et contrer le terrorisme ». En raison de l’émoi provoqué par les attentats du 11 septembre 2001, le Patriot Act est devenu dans de nombreux autres pays sur la planète, une référence.

En Afrique, le développement des organisations terroristes s’est déroulé en deux phases. La première s’est opérée simultanément aux alentours du lac Tchad, frontière naturelle séparant les régions forestières denses entre le Cameroun, le Tchad, le Niger et le Nigeria, et dans le Sahara algéro-malien. On assistait alors à la naissance des deux premiers projets de califats djihadistes africains, avec, d’un côté Boko Haram au Nigeria et, de l’autre, le Groupe salafiste pour la prédiction et le combat (GSPC) dans le Nord malien, en 2002.

Pendant les cinq ans qui suivirent, les commandants du GSPC ont formé le premier groupe armé terroriste (GAT) africain loyal à la nébuleuse pakistano-afghane connue dans le monde entier depuis septembre 2001 : al-Qaïda. Baptisé al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), le groupe terroriste était, entre 2001 et 2013, surtout actif en Mauritanie, en Algérie, en Tunisie, et en Libye, dans une moindre mesure au nord du Niger et du Mali.

Pendant ce temps-là, Boko Haram ressemblait de plus en plus à un gang ou à une secte, n’ayant d’ailleurs pas de véritables revendications politiques. Mais l’idéologie de Boko Haram « assimilant les Etats à la corruption qui les caractérisait », selon Christian Seignobos, auteur de « Boko Haram : innovations guerrières depuis les monts Mandara ».

La guerre en Libye, un tournant majeur

Jusqu’en 2011, Aqmi et Boko Haram ont eu bien du mal à recruter massivement en Afrique de l’Ouest. Les pays sahéliens connaissaient un relatif boom économique en raison des mannes pétrolière et minière. Et les populations n’avaient pas accès à un point de référence de leur situation socio-économique, outre des décennies de chaos postcolonial. Car la mondialisation, et son premier outil, internet, ne s’étaient pas encore développés.

Selon le Forum mondial de lutte contre le terrorisme (GCTF), unique plateforme mondiale apolitique spécialisée dans la lutte antiterroriste dans laquelle des experts africains sont présents depuis la fondation, la pénétration d’internet en Afrique a été « parallèle à la recrudescence du recrutement des groupes armés sur le continent ».

Le tournant majeur a eu lieu en 2011, lorsque l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN), influencée par la France et le Royaume-Uni, a décidé de s’ingérer dans la guerre civile libyenne. Les confrontations opposant Mouammar Kadhafi et ses mercenaires touaregs, tchadiens et soudanais d’un côté, et les rebelles et opposants libyens dirigés par d’anciens militaires kadhafistes et armés par l’OTAN de l’autre, ont marqué le coup d’envoi du retour de milliers de djihadistes africains du Moyen-Orient.

Au fil des mois qui ont suivi la mort de Kadhafi et l’effritement de son régime, ces éléments, armés des équipements dérobés dans les armureries de Kadhafi dans le sud libyen, et enrichis par la contrebande d’armes, d’hydrocarbures et de migrants, ont rejoint petit à petit la zone des « Trois frontières » dans l’ouest nigérien.

Une « stratégie du tout militaire » qui n’a jamais freiné le terrorisme

C’est donc entre 2011 et 2016 qu’al-Qaïda a tissé sa toile au Sahel, et que Boko Haram a prêté allégeance au groupe Etat islamique. Les groupes terroristes qui sévissent aujourd’hui encore en Afrique de l’Ouest ont également profité des opérations occidentales en Libye, puis au Mali — Serval, puis Barkhane —, s’en servant comme un outil de propagande efficace.

L’Etat islamique en Afrique de l’Ouest (EIAO) et l’Etat islamique dans le Grand Sahara (EIGS) ont ensuite proliféré au Niger et au Nigéria. Aqmi, en contrepartie, a étendu son influence dans des régions longtemps négligées par les Etats malien, burkinabè et nigérien, la tristement célèbre zone des « Trois frontières ».

L’Est malien, où les milices Touaregs se rebellaient contre Bamako, était également un terrain impraticable pour les forces armées maliennes (FAMa) et les forces françaises de Barkhane, ainsi que pour leurs alliés européens. Un contexte dans lequel se sont développés la Katiba Macina et le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), les deux derniers porte-étendards d’al-Qaïda en Afrique.

L’inaction des Etats de la région dans les domaines du développement et de l’éducation s’est accompagnée par une stratégie du tout militaire des forces occidentales au Sahel. Et il était difficile pour les populations rurales ouest-africaines d’ignorer l’effet de la présence française, jugée comme insolente, sur la radicalisation des jeunes.

Selon la chercheuse à l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Caroline Roussy, « la force Barkhane est de plus en plus considérée comme une force d’occupation ». Un constat partagé par de nombreux militaires français, par la société civile malienne et burkinabè, pendant des années, mais que Paris a fini par ignorer. Parallèlement, le soutien français aux régimes Déby au Tchad, Biya au Cameroun, IBK au Mali ou Compaoré au Burkina Faso n’a pas arrangé les choses. Pendant des années, les GAT se sont politisés, et ont établi des Etats parallèles dans les régions rurales de la bande sahélo-saharienne.

L’Afrique, continent le plus touché par le terrorisme

Aujourd’hui, la situation sécuritaire au Sahel « hypothèque l’avenir des populations », selon le chef du bureau de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS), Mahamat Saleh Annadif. Devant le Conseil de sécurité des Nations unies, Annadif assurait, en janvier, que « les conséquences pourraient se faire ressentir bien au-delà de la sous-région » ouest-africaine.

D’après le dernier Global Terrorism Index (GTI), l’Afrique de l’Ouest est, depuis 2017, la région où les groupes terroristes sont les plus meurtriers. En 2021, cinq des dix attentats terroristes les plus graves ont eu lieu au Niger et au Burkina Faso, avec 430 morts civiles. L’Afrique entière a essuyé 3 461 victimes parmi un peu plus de 7 100 dans le monde en 2021. Soit la moitié des fatalités mondiales.

Autre constat relevé par le GTI : « Le terrorisme à motivations politiques a désormais pris le dessus sur la violence armée motivée par la religion. Cette dernière a reculé de 82 % en 2021. Au cours des cinq dernières années, il y a eu cinq fois plus d’attentats terroristes à motivation politique qu’à motivation religieuse ».

L’Afrique de l’Ouest est, aujourd’hui, la deuxième région du monde avec le plus d’éléments terroristes dans le monde après la région MENA (qui englobe l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient et la Corne de l’Afrique). L’Institute for Economics and Peace (IEP), qui établit annuellement le GTI, affirme que le Niger est le pays où les victimes de terrorisme ont augmenté le plus. Et le groupe terroriste GSIM, d’Iyad Ag Ghali, serait le plus meurtrier en Afrique et le deuxième plus dangereux dans le monde après la branche afghane de l’Etat islamique.

Les Etats ouest-africains font-ils le jeu des groupes terroristes ?

Dans le dernier rapport annuel du Conseil de sécurité des Nations unies sur l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, l’ONU assure que, malgré l’augmentation des attentats terroristes au Sahel, certains pays africains ont enregistré une baisse des attaques. C’est le cas notamment de la Somalie, mais aussi du Nigeria et du Mali. D’un autre côté, le chef de l’UNOWAS, Mahamat Saleh Annadif, estime que « les attentats dans le nord de la Côte d’Ivoire, du Bénin et du Togo démontrent la réalité du déplacement des actes de terrorisme du Sahel vers les pays côtiers du golfe de Guinée ».

Les attentats les plus récents au Togo, au Bénin et en Côte d’ivoire, qui ont tous visé l’armée et les installations militaires, marquent un changement qualitatif dans l’activité des groupes terroristes. Les analyses des différents think tanks spécialisés, de ces attentats, démontrent une certaine négligence du mode opératoire, très différent de celui des GAT au Sahel.

En effet, plus l’activité des groupes liés à al-Qaïda et l’Etat islamique avance vers le sud, plus elle mute. Les raids effectués sur les positions militaires remplacent de plus en plus l’usage d’engins explosifs improvisés (EEI). Le fait que les groupes terroristes investissent du personnel, équipé d’armes légères, pour attaquer les forces gouvernementales avant de piller les positions attaquées des armes et des véhicules, n’est pas inédit.

Il s’agit de la troisième phase du modus operandi des « organisations mères » de ces groupes terroristes, communément appelée « al-ihtitab » – comprendre « l’affouage ». Elle succède aux phases de reconnaissance et de recrutement, et son but est de lever des fonds, tout en créant un sentiment d’insécurité auprès des populations, en ébranlant la confiance des citoyens en leur Etat.

Ce qui montre, encore une fois, que la négligence des Etats de la région ouest-africaine du développement rural, le recul de la bonne gouvernance, et la stratégie antiterroriste « tout militaire », constituent un climat propice à la radicalisation, qui prend donc un vecteur plus politique que religieux.

Autre problème, sur le plan de la communication, il est très difficile de lutter contre la propagande des groupes terroristes. Cette dernière prend racine dans les faits, les gouvernements ouest-africains sont diplomatiquement axés sur les puissances étrangères. Et la gouvernance en Afrique de l’Ouest souffre d’une corruption endémique et de mauvaise gestion. Le storytelling sur les exploits des « présidents couffins », le rejet de la faute sur le changement climatique ou, pire, sur les tensions agro-pastorales et les conflits interethniques peinent à convaincre. 

Des services de renseignements mal préparés ?

D’autres facteurs expliquent la propagation des crimes terroristes en Afrique de l’Ouest. D’abord, le manque de pragmatisme des services de renseignements, qui usent encore des bulletins de renseignement, et sont trop souvent dépendants du pouvoir exécutif de l’Etat. Une police politique, en d’autres termes.

Le journaliste et auteur français François Soudan estime d’ailleurs que, « faute de moyens et d’intérêt » le renseignement africain « a été totalement laissé en déshérence, restant l’apanage exclusif de la DGSE française, du MI6 britannique, de la CIA américaine ou du Mossad israélien, lesquels retransmettaient aux services africains les informations qu’ils voulaient bien leur donner ».

Quand-bien même ce fut le cas, l’exemple togolais saute aux yeux. Alerté en 2020, par un heureux excès de zèle médiatique du patron des renseignements extérieurs français Bernard Emié, de la possible expansion des groupes terroristes du Sahel vers le Togo, comment Lomé a-t-il procédé ? Des dépenses militaires colossales et la création d’une zone militaire sur la frontière avec le Burkina Faso. Cela a-t-il suffi à anticiper, se préparer, ou même repousser à temps l’attaque terroriste du 11 mai ? Non, l’armée togolaise a subi son attentat le plus meurtrier, sans même pouvoir récupérer un seul des 15 assaillants morts afin de les identifier.

Il faut dénoter que le Ghana, la Côte d’Ivoire et le Bénin ont procédé de la même manière que le Togo, pour se préparer à l’expansion des groupes terroristes sahéliens.

Des sources militaires et gouvernementales togolaises concordantes, moyennant des documents consultés par le Journal de l’Afrique, avaient révélé que sept éléments terroristes qui « ont avec certitude des liens » avec le GSIM, avaient été arrêtés en mai 2021. Ils ont ensuite été libérés, après des mois d’interrogation, sur fond d’un conflit juridique entre les lois nationales et les traités internationaux.

Pourtant, depuis 2013 déjà, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), avait alerté les pays d’Afrique de l’Ouest sur l’importance de la prévention et de l’installation de mécanismes antiterroristes efficaces. Les difficultés sur le développement provoquées par le terrorisme « devraient inciter les Etats ouest-africains à organiser efficacement sa prévention et sa répression. Ces considérations impliquent l’adoption de lois antiterroristes appropriées, dans la mesure où c’est le droit qui fixe le cadre général de lutte antiterroriste », lit-on sur un rapport de l’OCDE datant d’avril 2013.

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